~~ Description du personnage ~~
Nom : Je n'en ai pas, ou du moins n'en ai-je pas la connaissance.
Prénom : On me nomme Aelis, ce qui signifierait ange m’a-t-on dit.
Age : 24 ans
Sexe : Féminin
Clan : Novaelis
Don : Mon don ? Matérialiser n'importe quoi et prenant la forme que je désire. Oh mais ne vous emballez pas, cela ne dure pas. Tout dépend du gabarit de l'objet, ou personne car oui je peux aussi matérialiser quelqu'un sous une autre forme. Cela peut durer une poignée de minutes ou quelques heures, jamais beaucoup plus. De plus je ne m'amuse certainement pas avec ce don. Il a tendance à avoir des effets négatifs : quelques coups de fatigue m'arrivent souvent quand je suis trop gourmande avec, je n'ai jamais osé aller plus loin.
Description Physique : " Un regard de glace "
Savez-vous qu'on pourrait tuer d'un regard ? Je dis bien pourrait, car le mien est aussi froid et tranchant qu'une lame pour quiconque ose le croiser, ce qui est un peu agaçant car peu de gens ne dévient pas les yeux du mien d’un gris perçant.
Pour le reste, je me dirais banale, mais ça n’en est que mon propre avis. En quelques mots : de longs cheveux châtain foncés, visage ovale, un nez fin et des lèvres pleines. Je me démarque sans doute par la taille relativement grande et élancée et mon accoutrement parfois décalé. Avez-vous déjà rencontré quelqu’un vêtu d’une robe bariolée, ceinture et chapeau haut de forme ? C’est-ce que je porte très souvent, en contraste à mon visage aux traits sévères.
Il m’arrive de porter quelques gri-gri sur moi, tel qu’une unique boucle d’oreille portée à droite, objet que j’affectionne particulièrement.
Description Mentale : Est-ce tant nécessaire ? Il suffit de me voir pour me percer à jour. Je n’ai rien de foncièrement mauvais, même s’il est toujours aisé de se décrire ainsi, si ce n’est un dégoût profond pour ces gens qui vivent dans le luxe, question de passé. Je suis peu ouverte aux autres, et parler de moi est une chose que je n’aime pas faire. Cependant, je n’ai rien d’un ermite ou d’une asociale complète, mais je n’accorde pas grande confiance aux autres. L’un de mes plus grands défaut se résumerait à de la rancune. Il vaut mieux ne pas me chercher d’histoires, car je ne digère pas, mais absolument pas. Mais assez parler de mes petits défauts, j’ai aussi des particularités appréciables comme ma franchise, quoi que parfois cela ne tourne pas à mon avantage, mon dynamisme et joie de vivre. Il m’arrive parfois d’être un peu espiègle et moqueuse.
Histoire : Une orpheline, voilà ce que je suis. Je le sais je l’ai toujours su. Mes parents je n’ai pas eu la chance de les connaitre et je dois bien avouer que ce qu’il leur est arrivé est bien flou. Accident, départ forcé, une erreur de circonstance… Voilà ce qu’on m’a laissé entendre. La notion de mort en présence d’une enfant les avaient-ils tant embarrassés ? Mais peut importe… Si vous voulez entendre mon histoire, et bien, la voici.
Je n’ai jamais eu de famille car passé quelques années dans une, l’on m’envoyais dans une autre, chose que je n’ai jamais compris, mais cela faisait parti d’une routine devenue habituelle. Arrivée à un certain âge où j’étais apte à comprendre et agir mieux qu’auparavant on me plaça dans une nouvelle famille. N’importe qui pourvut qu’on me donne un toit, comme toujours. Un chez-soi qui n’était pas tant le mien. La famille en question était plutôt riche et de bonne réputation. Deux enfants gonflés d’orgueil, toujours le menton relevé, l’air hautain. Les parents ? Une femme aux traits durs, regard sévère, distante et sans pitié. Le mari toujours absent. Un homme bon, aimant ou quoi que ce soit d’autre il m’était impossible de le savoir car même lorsqu’il était présent il ne me voyait pas. Personne ne me voyait véritablement. Une gêne. Mais alors que faisais-je dans un tel lieu ? Un petit personnel, un souffre douleur. Pas au début, mais très vite chacun y avait trouvé son compte à me rabaisser et autres humiliations. J’ai gardé de très mauvais souvenirs ici, et c’est là que j’ai commencé à forger mon caractère tel qu’il est encore aujourd’hui. Cette rancœur.
Et puis on m’a donnée, au sens propre, entre d’autres mains. Je n’ai jamais compris pourquoi cette nouvelle famille m‘accueillit tout autrement que l‘ancienne, mais je ne m’en plaignis pas. L’inconnu que l’on m’offrait cette fois était bien plus accueillant. Un homme seul dans une maison gigantesque. Cet homme était chaleureux et bienveillant, ce qui m’avais laissée curieuse, suspicieuse. Intimidée aussi. Je m’attendais à chaque instant à me faire réprimandée, malmenée. Mais non. Curieux destin qui m’avait amené à côtoyer deux foyers si différents l’’un de l’autre. J’avais là une douzaine d’années si je ne me trompe pas. Halen. Il s’appelait ainsi. C’est bien le premier nom que j’ai retenu, aussi le premier à s’adresser à moi par un doux nom : Aelis. Etait-ce vraiment mon nom ou bien venais-je enfin de devenir quelqu’un ? C’est ici que je me suis sentie chez moi. Où j’ai tout appris en fin de compte.
Halen possédait un petit atelier. Il m’y avait amenée un jour. Il fabriquait divers objets et ceux-ci me passionnaient. Je regardais émerveillée ces petites choses, et depuis ce jour je passai mon temps par-dessus son épaule à le regarder faire, avide de savoir un jour moi aussi en être capable. Ce fut le cas très vite car j’étais une enfant habille de mes mains et très ingénieuse à la grande joie de mon mentor. Malheureusement, puisque j’étais décidément destinée à une vie méprisable, Halen était malade, il avait perdu son dernier souffle de vie alors que j’entamais tout juste ma dix-neuvième année.
Peu après j’ai du me débrouiller par moi-même, n’étant plus en âge de me retrouver à nouveau dans une famille inconnue. Mon savoir dans le bricolage que m’avait inculqué Halen et mon don particulier me permirent de m’en sortir quelque peu et cette vie me forgea un caractère assez trempé. On ne peut pas dire que mener une vie pareille était agréable. Je vivais dans un quartier peu fréquentable, je gagnais mon pain comme je le pouvais. Je vivais, simplement, au jour le jour.
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Seulement, ma vie fut bouleversée un soir. Une soirée qui se voulait pourtant banal mais pourtant…
Ce jour là avait été vraiment pénible, je commençais à devenir lassée de cette existence sans but si ce n’est de survivre comme je le pouvais. Alors je n’étais pas rentrée, j’avais poursuivis ma route. Je me suis arrêtée devant un bar. Sans réfléchir j’y suis rentrée, me suis assise sur un tabouret. Il n’y avait que des ivrognes et des gens pourris jusqu’à la moelle mais j’étais à des années lumières de m’en inquiéter, ce n’était pas les premiers de que voyais. Posant un coude sur le comptoir, je lançai :
- Rhume ou bière… Ce que tu as
Soudain une chaise vola, suivit d’une vocifération d’un homme hors de lui. Je tournai aussitôt la tête vers l’homme. La suite se passa bien trop vite. Un regard et j’apercevais un couteau dans la main de ce fou et je n’étais déjà plus là. Dans un élan je m’étais interposée dans l’espoir qu’il s’arrête, qu’il stop sa course, son geste. Il ne l’arrêta pas. Sa lame traçait son chemin vers moi. Je n’eus pas même le temps de comprendre ce qu’il se passait que tout bascula. Une pensée fugace m’avait traversé l’esprit et voilà que se trouvait à présent l’objet de ma… Folie ? Devant mes yeux, devant moi…
Ahurie, je reculai d’un pas, observant la scène comme une simple spectatrice. L’apparition venait de rendre le coup à l’homme, qui s’était retrouvé au sol, mort de peur. Il s’était relevé avec précipitation et s’était enfuis sans attendre. Le fait que le bar était devenu silencieux et que la plupart des gens dévisageait l’apparition, je me permis à penser que finalement, je n’étais pas folle. Ayant le sentiment d’être devenue soudain indésirable dans cet endroit, enfin surtout « ce » que je venais de créer… Si c’était réellement ce que je venais de faire. Ma main se referma sur le bras de celle-ci et il ne fallut pas plus d’un instant pour que nous fument dans la rue. Là, je dévisageais avec curiosité le garçon qui se tenait devant moi, le garçon que j’avais de toute évidence matérialisé. Mais comment ?
[ manque un chtit bout ]
Autre : J’ai un petit fantôme nommé Shiki comme compagnon
~~ Votre description ~~
Comment avez vous connue le forum? Je suis venue en même temps que Shiki ^^
Nombre de ligne moyenne par RP? Ca dépend de mon inspiration, de mon temps et tout ca, mais je m’adapte : si on me fait un pavé, moi aussi 8D
Autre chose? Désolée du retard >w<